Palace pour chiens
2009 - Réal : Thor Freudenthal - Comédie, Aventure -
Chez Andy et son petit frère Bruce, les animaux sont interdits. Mais pour Vendredi, l'adorable chien qu'ils nourrissent en secret, les deux enfants sont prêts à prendre tous les risquent. Ils finissent par lui trouver un refuge idéal dans un immense hôtel abandonné que Bruce transforme spécialement grâce à son génie du bricolage. Dans ce paradis pour chiens, Vendredi est rejoint par d'innombrables copains de tous poils, au point que leurs aboiements alertent les voisins...et la fourrière. Andi et Bruce vont devoir faire appel à leurs amis et à toute leur imagination pour empêcher que le secret du palace ne soit découvert...
J'en vois déjà qui sourient en coin... Gaussez vous ! Je les adore, moi, les productions avec plein de ouaf ouaf et des tonnes de poilus partout. Après tout, le cinéma n'est pas toujours auréolé de sérieux : il s'adresse aussi au jeune public et aux jeunes de coeur, dont je revendique faire partie. Je voulais voir quelque chose de léger et de marrant, j'ai été bien servi. Une Lisa Kudrow plus déjantée que jamais, un Kevin Dillon en rocker raté qu'on a envie de baffer... Bien sûr que ce genre de film repose plus sur la fibre affective que la qualité de sa réalisation, mais j'ai envie de dire, et alors ? Seul le résultat compte et à mes yeux il vaut largement un 101 dalmatiens de Disney. On ne saurait rester insensible devant ces trognes poilues et surtout admirer les trésors de dressage qu'il a fallu déployer. Sans doute des heures de travail pour arriver à cette chorégraphie animale quasi parfaite : je ne m'en lasse pas, pour ma part.
J'en vois déjà qui sourient en coin... Gaussez vous ! Je les adore, moi, les productions avec plein de ouaf ouaf et des tonnes de poilus partout. Après tout, le cinéma n'est pas toujours auréolé de sérieux : il s'adresse aussi au jeune public et aux jeunes de coeur, dont je revendique faire partie. Je voulais voir quelque chose de léger et de marrant, j'ai été bien servi. Une Lisa Kudrow plus déjantée que jamais, un Kevin Dillon en rocker raté qu'on a envie de baffer... Bien sûr que ce genre de film repose plus sur la fibre affective que la qualité de sa réalisation, mais j'ai envie de dire, et alors ? Seul le résultat compte et à mes yeux il vaut largement un 101 dalmatiens de Disney. On ne saurait rester insensible devant ces trognes poilues et surtout admirer les trésors de dressage qu'il a fallu déployer. Sans doute des heures de travail pour arriver à cette chorégraphie animale quasi parfaite : je ne m'en lasse pas, pour ma part.